Marik [en cours]

(J'aimerais que l'admin de ce forum change le nom de mon compte -normal vu que je change de perso!- et par conséquent le titre attribué, merci d'avance =D)

Prénom : Marik.

Nom : Burton.

Race : humaine.

Sexe : masculin.

Âge : 24 ans.

Métier : espion/assassin.

Description physique : s'il y a bien une chose qu'on puisse dire, c'est que son physique va de paire avec son métier, il est assez passe-partout. Des yeux noisette légèrement tombants, des cheveux noirs mi-longs lui laissent le front assez dégagé, ils ont un dégradé naturel mais entretenu. Son visage est fin pas pas tringulaire et garde des allures masculines. Rasé ou avec une barbe de quelque jours, c'est selon ses humeurs, son courage et le temps qu'il a le matin. Pas particulièrement bronzé, il n'a pas non plus la peau pâle, un caucasien dans la norme en somme (oui, seuls les cheveux correspondent à l'avatar). Relativement avenant, il inspire la confiance et a l'air d'être un homme loyal. Son corps est "sec" et finement musclé, on sent qu'il fait une activité physique régulière et fait attention à ce qu'il mange.
Côté vestimentaire, il privilégie une paire de chaussures de bonne facture, un jean ou un pantalon, un t-shirt monochrome et un blouson en cuir.

Description mentale : la première chose que vous vous direz quant à son caractère est vraisemblablement "mais quel connard!". En effet, il adore briser la glace en faisant des remarques pleines de sous-entendus ou franchement insultantes. Et... Il aura tendance à plus ou moins en faire, à croire que c'est un don chez lui -une malédiction dans certains cas-. En fait, ce n'est pas entièrement naturel, il pourrait très bien s'abstenir, mais il faut croire qu'il n'en a que rarement l'envie. Si par un concours de circonstances vous venez à vous entendre avec lui, vous apprendrez qu'il n'est pas un si mauvais gars, même s'il n'attire pas la sympathie facilement. "Ni héros ni pur salaud" ça lui correspond assez bien. Il ne ferait jamais parti d'un escadron suicidaire ou d'un bande qui a les yeux plus gros que le ventre. Évitant donc soigneusement les voies de la mort certaine, il a compris que le meilleur moyen de rester en vie et d'avoir quelques projets était de ne pas se faire remarquer. En effet, qui viendrait vous chercher des ennuis quand on ne fait pas attention à vous? C'est donc dans cet état d'esprit qu'il est tout d'abord devenu espion, puis assassin. Il aime bien improviser, quelque chose d'assez paradoxal en raison du risque encouru, mais que voulez-vous les gens sont bizarres, à moins qu'il ne cherche tout simplement à s'entrainer pour se préparer aux cas désespérés. Côté coeur, ce n'est pas vraiment ça : la vie d'espion interdit de se lier aux gens et quoi que vous en pensiez, quand on a pas l'habitude de se lier, c'est dur! C'est sans doute pour ça qu'il privilégie les liaisons purement physique, même s'il n'est pas impossible qu'il tombe amoureux un jour, qui sait?..

Histoire : Marik Burton... Ça ne sonne pas très bien n'est-ce pas? Que voulez-vous, on ne choisit ni le nom de ses parents ni son prénom! Toujours est-il que cet homme est né il y a un peu plus de vingt-quatre ans. Son père s'appelait William et sa mère Anna, il était leur premier enfant. Comme tous bons parents, ils offrirent à Marik le maximum qu'ils pouvaient pour qu'il réussisse sans pour autant de gâter. Il s'est fait quelques amis, enfin quelques, beaucoup : des "in" aux "freaks" il n'y avait pas un seul milieu où il ne connaissait pas quelqu'un. Il se sentait bien dans tous les milieux, il était un peu "partout chez lui" comme qui dirait. Il se lia particulièrement avec un certain Bobby, avec qui il devint son meilleur ami, même s'il voyait en lui une sorte de grand frère qu'il n'avait pas eu. Il était un jeune adolescent lorsqu'il rencontra Bobby qui était alors un "carré" (redoublant quoi), le courant passa immédiatement. Il avait vraiment l'impression que cette "bande à deux" était son vrai "chez lui", une sensation qu'il n'avait pas encore senti auparavant.

Tout allait bien lorsqu'un jour alors qu'il se baladait, il entendit des bruits, comme une bagarre... Discrètement, il remonta la rue sans faire le moindre bruit, voulant voir de quoi cela retournait avant d'agir. Il ne fut pas déçu du voyage : deux gars bien grands et forts enlevaient littéralement des gamins dans la rue! Quitte à se faire tabasser -la possibilité qu'il se fasse enlever ne lui avait alors pas effleuré l'esprit-, il se décida à s'avancer prêt à en découdre. Mais soudain, ses yeux aperçurent un pistolet, un frisson glacial le parcourut, le paralysant littéralement. Il ne s'était avancé que d'un pas, ni une ni deux, il le fit dans le sens inverse. Son coeur battait si fort que Marik avait l'impression qu'il voulait sortir, un bruit de voiture qu'on démarre, le bruit de moteur s'éteint peu à peu, laissant Marik pousser un long soupir de soulagement avant de se laisser tomber sur les fesses, haletant et pris de sueurs froides...

Ne sachant pas trop quoi faire d'autre, Marik s'en retourna d'abord chez lui pour boire un verre d'alcool fort. Une fois calmé, il prit son téléphone et appela Bobby, lui demandant de se retrouver au lieu habituel. Ce n'était pas loin du lycée où il n'allait plus désormais, un petit bar dirigé par un corpulent homme grissonant à l'allure sympathique. Après quoi ils passèrent commande d'une bière, cela aidait pour garder un siège. Marik raconta toute l'histoire à Bobby qui fut tellement étonné et choqué qu'il en reposa sa boisson et n'eut l'âme de la terminer. Il eut alors une idée : celle d'entreprendre des actions contre la Sprise, mais pas de n'importe quel genre, armées. À eux deux ils n'auraient bien évidement aucune chance d'arrêter la Sprise, mais sauver des gamins d'interminables tortures était déjà bien. Ils achetèrent des armes et prirent quelques cours pour savoir tenir une arme, après ils pouvaient s'entrainner seuls. Ils faisaient quelques virées de temps à autres dans les bas quartiers, histoire de trouver des endroits à surveiller. L'organisation était assez simple : les prendre des deux côtés pour être sur de les tuer. Bien vite ils durent changer leurs plans : Marik n'arrivait pas à tuer mais il ne s'en était rendu compte que le moment venu. Leurs plans durent changer : Marik jouait l'appât et Bobby l'exécuteur. Ils arrivèrent à tuer plus d'un groupe de voleurs d'enfants.

Mais tout ne va pas toujours comme on le souhaite. Malchance ou ennemis plus expérimentés? Aujourd'hui encore Marik ne sait pas pourquoi, mais cette fois c'est mal, très mal passée. Tout avait bien commencé, les pneus crevés par Marik qui attirait les brutes plus loin pour que Bobby les tue. Mais cette fois ils furent surpris, des coups de feux retentirent et des balles fusaient tous azimuts et Bobby fut touché mortellement. Caché derrière une poubelle Marik avait évité les tirs, mais le meurtrier de Bobby l'avait vu et le cherchait. C'était un un contre un. L'homme surgit brusquement devant Marik tremblant qui tira plus par réflexe défensif qu'atre chose. À terre, l'homme se visait douloureusement de son sang, Marik vida tout son chargeur sur l'homme. Après quoi il réalisa qu'il ne pouvait pas rester ici, il devait laisser Bobby derrière lui, il n'avait pas d'autre choix. Mais avant, il appela la police pour signaler la fusillade. Il fit un détour avant de retourner chez lui, avec de l'argent qu'il avait économisé il s'acheta un peu de drogue. Marik avait prévu de se faire un petit coktail léthal composé de drogue et d'alcool fort. Avant de faire sa cérémonie d'adieu, le jeune homme fut forcé d'aller rendre ce qu'il avait mangé via de douloureuses crampes d'estomacs. Il afficha un mot avec marqué "allez vous faire foutre!" sur sa porte avant de mettre un CD en boucle avec le son à fond pour ensuite se donner son "premier et ultime shoot". Il se souvient s'écrouler par terre puis se réveiller dans un hôpital l'instant d'après, à moitié sourd.

Le tapage diurne engendré par la musique avait fait rameuter deux policiers qui l'avaient trouvé effondré sur le sol, après avoir éteint la musique il l'avaient emmené à l'hôpital. Marik manqua de rire devant son propre échec, mais il n'était plus d'humeur à rire. Lorsque le médecin lui demanda pourquoi il avait tenté de se suicider et pourquoi il y avait du sang sur ses vêtements, Marik ne répondit pas tout de suite avant de "mentir à moitié" en disant qu'il avait été attaqué alors qu'il se balladait avec son pote. Après une série de questions sur sa consomation de produits stupéfiants et d'alcool, un policier l'emmena, mais pas dehors : à la morgue. L'appel passé le matin avait laissé un corps non identifié, Marik n'eut aucune difficulté à reconnaître son ami mais un peu plus pour controler les larmes. Pour une raison aussi vague d'improbable, on ne lui demanda que de payer l'amende pour le tapage diurne.

À peine rétabli Marik voulait plus que jamais massacrer Yann Nivel, mais seul il finirait bien vite comme Bobby, surtout s'il y allait armé, avec les fouilles et les détecteurs à métaux. Il devait pouvoir passer à travers, alors il fit quelques recherches. Après quelques temps, il trouva quelque chose d'interessant, un pistolet en plastique très léger. Le problème était de faire passer les balles, mais la solution fut rapidement trouvée : des piles. Non, il n'allait pas utiliser des piles en guise de balles, mais cacher ses balles dans des piles, mais avant de s'aventurer avec ça, il fallait vérifier que ça puisse passer. Comme il n'avait aucune façon de le savoir, il préféra garder cette idée dans un coin de sa tête pour employer la seconde chose qu'il avait trouvé : la fibre de verre. Très résistante et surtout non métallique, il se fabriqua un genre de pic à glace ainsi qu'un poing américain en ce matériau. Lorsque cela fut fait, il commenca une vie d'espion et d'assassin, choisissant des contrats toujours orientés contre la Sprise.